Régulièrement, j’accepte d’attacher ce collier de chien autour de ton cou. Pas toujours. Mais quand je le fais, je vois bien que tu t’efforces à garder ton calme. A première vue, tu ne trahis pas tes émotions, mais je sais qu’il me suffirait de glisser un doigt entre tes grandes lèvres gonflées de désir, pour prendre toute la mesure de ton excitation glissante.
La bibliothécaire
« C’était un couple de quadras comme on en croise des dizaines dans les cinémas d’art et d’essai. Il était grand et fin, elle était pulpeuse et très jolie. Monsieur et Madame Bobo Parisien. Avec un zeste de piment. Cela faisait plusieurs samedis que j’observais leur